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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 00:00

 

 

blé (12)


Dans l'article Non, l'agriculture biologique ne peut pas nourrir l'humanité j’avais comparé les rendements français des cultures de blé, maïs et orge, en culture bio et tous modes de production confondus.


 

moissonneuse batteuse (27)

Les statisticiens français n’établissent pas encore de rendements isolément pour les seules cultures conventionnelles. Comme les surfaces en bio sont faibles, on peut considérer qu’elles influent peu sur le rendement moyen tous modes de production confondus et que celui-ci approxime de façon très satisfaisante le rendement en culture conventionnelle.





blé (22)

En tout état de cause, si je me trompais et que cette influence sur le résultat moyen soit significative, cela voudrait dire que le rendement en culture conventionnelle est plus élevé que cette moyenne relatée dans les statistiques.

 

J’ai trouvé une actualisation des données pour les années 2010 et 2011. J’ai donc pu constituer un tableau regroupant l’évolution de ces rendements pour les années 2008, 2010 et 2011.

 

  Quintaux par hectare et %

2008

2010

2011

Blé tendre

 

 

 

Bio / France

31

32

32

Tous modes de production / France

73

73

68

% rendt bio/rendt tous modes de prod.

   43 %

   44 %

   47 %

Maïs

 

 

 

Bio / France

66

58

54

Tous modes de production / France

95

90

105

% rendt bio/rendt tous modes de prod.

   70 %

   64 %

   51 %

Orge

 

 

 

Bio / France

29

31

30

Tous modes de production / France

69

64

60

% rendt bio/ rendt touss mode de prod.

   42 %

   48 %

    50 %

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On voit que depuis mon article d’octobre 2009 les choses n’ont pas fondamentalement changé et que ma conclusion d’alors reste valide :


Le Nain (3)


Comment nourrir le monde avec des rendements deux fois plus faibles ?


 




Je profite de cette mise à jour pour aborder un autre point que les écolos nous assènent régulièrement et qui est une contrevérité : les produits issus de l’agriculture biologique seraient plus sains et plus sûrs que les produits issus de l’agriculture conventionnelle.


chussettes

C’est une contrevérité pour une raison très simple : c’est faux et, de la même façon que les chaussettes de l’archiduchesse sont archi-sèches, c’est archi-faux !





Beaucoup de produits issus de l’agriculture biologique sont plus risqués que les mêmes produits issus de l’agriculture conventionnelle.

Exemples


Aspergillus flavus - 2Certains champignons qui s’attaquent aux céréales, sur pied, ou en grain dans les silos de stockage, produisent des toxines qui ont, selon les cas, des effets cytotoxiques, tératogènes et cancérigènes. Les plus célèbres sont les aflatoxines, cancérigènes à très faibles doses. L’aflatoxine B1, produite notamment par la moisisssure Aspergillus flavus est le plus puissant agent cancérigène connu du foie.




rouille-noire2-copie-1.jpg
Au champ, les attaques d’insectes, qui blessent les tissus végétaux favorisent le développement des moisissures.






silos à grain - CopieAu silo, les conditions de température et d’humidité sont déterminantes pour le développement des moisissures mais, ces conditions remplies, les insectes et les rongeurs facilitent les attaques.




pommes -

La patuline est un puissant neurotoxique produit par une moisissure s’attaquant notamment aux pommes. Le développement de cette moisissure est favorisé par les attaques de certains insectes. La patuline se retrouve dans le jus de pomme. Les jus contaminés n'ont ni goût particulier, ni modification d'aspect. Les jus fermentés, cidres, en sont exempts (décidément les alcoolophiles bénéficient de la bienveillance de dame nature car, si l’alcool tue lentement, ils ne sont pas pressés !)





DDT--3-.jpg
Il est clair que dans ces deux cas, s’interdire l’utilisation de fongicides, d’insecticides et de raticides efficaces ne peut que favoriser les accidents liés au développement opportuniste de moisissures.





potager - 4
Pour un certains nombre de produits, comme les légumes poussant au contact du sol ou les graines germées, l’utilisation de composts pas toujours confectionnés selon les règles de l’art, ou de façon pas toujours étroitement contrôlée, ne peut que favoriser le risque de contamination par des bactéries Escherichia coli, communément présentes dans les intestins des mammifères, dont certaines souches sont extrêmement nocives, voire mortelles, pour l’homme.


 

 

Fenugrec (2)
On devrait plus souvent se rappeler la contamination due aux graines germées de fenugrec bio, qui a fait récemment cinquante trois morts en Europe et plus de huit cents malades atteints de séquelles graves et irréversibles les condamnant à être dialysés le restant de leur vie.




Les militants de l’agriculture biologique prétendent qu’avec un mode de production moins intensif et sans pesticides un certain équilibre écologique s’établit, défavorisant le développement de moisissures nocives. Cela relève de la pensée magique. Il est bien établi que les accidents sanitaires dus à l’alimentation étaient considérablement plus fréquents aux époques où les moyens modernes, fondements de l’agriculture intensive, n’existaient pas.


DSC08660

Une étude réalisée aux Pays-Bas en 2001 a montré que les œufs bio dépassaient dans trois cas sur huit la norme autorisée pour les dioxines, alors que cela ne se présentait jamais pour les œufs de poules élevées en bâtiment.





plein air

Cela s’explique parce que les poules « bio » sont élevées en plein air et que le picorage en plein air les conduit à ingérer les dioxines issues de la pollution atmosphérique déposée sur le sol. Bon, il reste à prouver que le dépassement de la norme présente un danger. Personnellement j’en doute, mais les écolos-bios ?




logab
Je ne raconte pas tout ça pour propager un climat de peur ni pour dissuader de consommer des produits bio, juste pour relativiser la propagande des militants du tout bio, propagande injuste, jusqu’à en être diffamatoire, à l’encontre des produits de leurs concurrents de l’agriculture conventionnelle.



Bien entendu ce sont les militants du bio qui accusent les gens qui ne pensent pas comme eux de défendre des thèses au service d'intérêts économiques et commerciaux.

 

logo-footerIl est bien évident, en revanche, que La Vie Claire, Biocoop, Lemaire Boucher, les Amap bio, les agriculteurs bio, n’ont aucun intérêt économique ni commercial à défendre les thèses de l’agriculture biologique ! Ce sont les seuls agriculteurs, industriels et commerçants désintéressés au monde !

 

Pour en savoir plus

Enquête France Agrimer rendements et variétés céréales bio

Les mycotoxines du blé vues par l'Universisté du Havre

La patuline vue par le service régional de la protection des végétaux de Haute-Normandie

Lire aussi 

Non, l'agriculture biologique ne peut pas nourrir l'humanité

Pesticides, le chiffre du jour : 1 !

Pesticides, le chiffre du jour qui ne veut rien dire !

Pesticides, le chiffre du jour : 9000 !

Pesticides : une bonne nouvelle qu’on n’a pas entendue à la télé

Non, les produits alimentaires conventionnels ne sont pas « bourrés » de pesticides

 

Grenier, Asturies 2

Très beau grenier surélevé photographié en 1978 dans une ferme des Asturies

 


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commentaires

A
Ça dépend, de quelles nuisances parlez vous? Précisez et on pourra en débattre
Répondre
A
Bonjour,<br /> <br /> Désolé pour ce temps de réponse trop long (encore que, 3 mois ça passe !)<br /> <br /> Concernant les risques de leucémie, je n’ai pas réussi à retrouver la source du chiffre que j’avance, donc je retire cet exemple. Je vous laisse quand même avec quelques liens sur les risques des<br /> pesticides :<br /> http://gespoirasso.free.fr/DSL/Herbicide_leucemie.htm<br /> http://blogs.rue89.nouvelobs.com/no-wine-is-innocent/2013/06/14/cancer-ou-leucemie-la-roulette-russe-des-pesticides-230571<br /> http://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/06/13/20762-pesticides-risques-pour-agriculteurs-mieux-evalues<br /> Les chiffres ne sont pas aussi alarmants que ce que j’ai pu dire, mais de là à considérer que l’usage de pesticides est sans danger, bien documenté et que les recommandations aux agriculteurs<br /> permettent d’éviter les risques…<br /> <br /> Concernant les antibiotiques, vous vous méprenez : je n’évoque pas les problèmes de résistances qui pourraient avoir des impacts sur la santé humaine mais sur la santé animale !<br /> Nous utilisons des antibiotiques dans des élevages hors-sol pour leur permettre d’exister, car la taille de ces élevages et la promiscuité dans laquelle vivent les animaux augmentent follement les<br /> risques de développement de maladies. Des chercheurs avaient déjà essayé ce type d’élevage au XIXème siècle mais ils étaient confrontés à un taux de mortalité tels qu’ils n’étaient pas viables. Il<br /> a fallu attendre la découverte de la pénicilline par Flemming pour qu’ils puissent exister. Les antibiotiques utilisés en santé animale sont donc une condition essentielle au fonctionnement d’un<br /> élevage hors-sol.<br /> Et plus nous les développons, plus nous retrouvons des antibiotiques dans l’environnement, plus les bactéries visées développent des résistances, plus nous devons augmenter les doses, etc. C’est là<br /> le risque des problèmes de résistance : mettre en cause l’existence des élevages hors-sol.<br /> A long terme, ce type d’élevage n’est tout simplement pas viable !<br /> <br /> Enfin, vous ne dites effectivement pas explicitement que le problème de la fin dans le monde n’est qu’un problème de rendement, c’est une extrapolation de ma part : vous ne faites que le<br /> suggérer.<br /> Votre phrase « Comment nourrir le monde avec des rendements deux fois plus faibles ? » ne fait qu’aller dans le sens de l’idée née au milieu du XXème qu’avec des rendements plus élevés, on pourrait<br /> régler tous les problèmes de nutrition. Notre agriculture actuelle est bien plus productive que celle du début du siècle. Pour autant, les cas de famines, disettes, malnutritions ont-ils diminués ?<br /> Se sont-ils atténués ? Absolument pas. Ils sont de plus en plus virulents, de plus en plus présents. Ce qui montre bien que ce n’est pas avec une augmentation des rendements qu’on règlera la<br /> question.<br /> Selon le documentaire We feed the World, la production agricole actuelle permettrait de nourrir 12 milliards d’êtres humains. Donc, avec des rendements agricoles deux fois moindres, on pourrait<br /> presque nourrir le monde. Si on arrive à diminuer la consommation de viande (qui permet d’augmenter la productivité. En effet, la production de viande ne permet d’utiliser que 10% de l’énergie<br /> emmagasinée par les plantes, donc si on diminue la production de viande, on augmente la quantité de calories qui arrivent à l’homme sous forme végétale, donc la productivité agricole, CQFD) et à<br /> arrêter cette connerie de biocarburant, on arrivera à nourrir 7 milliards d’êtres humains.<br /> <br /> Pas convaincu par ma brillante démonstration ? C’est normal, c’est une bataille de chiffres. Et raisonner avec des chiffres à cette échelle ça n’a tout simplement aucun sens. L’ensemble de votre<br /> article raisonne sur quelques chiffres de rendements pour conclure à l’infériorité du bio. Ok, les rendements du conventionnel sont supérieurs. Mais est-ce vraiment la priorité ? Et qu’en est-il<br /> des impacts sur l’environnement immédiat de ces cultures ? Et la qualité des aliments ? Et leur distribution ?<br /> Si vous souhaitez vraiment résoudre la faim dans le monde et nourrir la planète, il faut une approche locale, qui s’adapte à chaque situation, chaque climat, chaque type de sol et de culture. Il<br /> faut en finir avec l’idée de l’agriculture conventionnelle qui est simplement de reproduire des conditions optimales de laboratoire à coups de fertilisants, phytosanitaires et mécanisation. Ce type<br /> d’agriculture a permis une augmentation des rendements, mais à durablement endommagé les sols, l’eau, la biodiversité du sol et j’en passe. Cette agriculture a encouragé dans les pays du<br /> Tiers-Monde des cultures et des pratiques qui sont aujourd’hui à la base des problèmes alimentaires mondiaux, mais aussi des problèmes de désertification, de réchauffement climatiques,<br /> d’immigration…<br /> <br /> J’en sais rien si des rendements deux fois moindres permettront de nourrir le monde. Mais le fait est que ce n’est tout simplement pas la question. La question est de savoir si notre agriculture<br /> est un modèle à développer, si elle satisfait toutes les exigences sociétales en termes de qualité, de quantité, d’impacts environnementaux, sociaux, économiques… Et franchement, pour peu qu’on se<br /> penche un peu sur la question et qu’on sorte la tête de colonnes de chiffres, on trouve de multiples exemples que notre agriculture actuelle est tout sauf idéale.<br /> Après, cela ne veut pas dire que tout le monde doit passer en bio. Ce type d’agriculture comporte aussi ces défauts, certains moindres, certains plus élevés, mais c’est une voie à explorer, parmi<br /> d’autres, pour arriver à trouver une agriculture qui s’adapte à toutes les situations et qui concilie enjeux économiques, environnementaux et sociaux. Ce qui est loin d’être le cas du<br /> conventionnel, je le répète.<br /> <br /> Bien à vous
Répondre
L
<br /> <br /> Le principal défaut de l'agriculture bio c'est que lorsqu'on les rarpporte à la quantité produite et non à la superficie cultivée, les "nuisances" sont plus élevées qu'en conventionnel !<br /> <br /> <br /> <br />
S
laurent les pesticides que tu ingurgitent tout les jours te bouffe les neurones mon pauvre esclave du mondialisme.
Répondre
L
<br /> <br /> A part ce genre d'insulte, vous avez des arguments ?<br /> <br /> <br /> <br />
A
Bonjour,<br /> J'ai trois questions/remarques pour l'auteur:<br /> <br /> -on trouve une concentration de plus en plus élevée d'antibiotiques dans notre environnement, que ce soit dans les eaux ou dans notre alimentation. En effet, l'élevage conventionnel en hors-sol<br /> impose une utilisation +/- importante d'antibiotiques, car la proximité dans laquelle vivent les animaux provoque des maladies constantes auxquelles ils succomberaient immédiatement sans ces<br /> produits.<br /> Si cette concentration n'est (à priori) pas nocive pour l'homme, elle pose néanmoins de gros problèmes quand au développement de résistances à ces antibiotiques, forçant une augmentation constante<br /> des doses pour rester efficace. Une sorte de course à l'armement en somme...<br /> On sait ce type d'élevage condamné sur du +/- long terme, puis qu’arrivera forcement un jour où nos antibiotiques ne seront plus efficaces du tout. Ne faudrait-il pas donc envisager dès maintenant<br /> une transition vers un autre mode de production, qui permette de s'affranchir des antibiotiques (ce qui n’est pas le cas du hors-sol), plutôt que d'attendre qu'il s'écroule de lui même?<br /> <br /> -si vous souhaitez parler de sécurité sanitaire, parlez également des risques que présentent les produits phytosanitaires sur leurs utilisateurs, c'est à dire les agriculteurs. Aucune étude n'a<br /> démontré de lien entre l'utilisation quotidienne de produits phytosanitaires et un risques sur la santé,. Mais en France, 50% des leucémiques sont des agriculteurs, ce qui veut donc dire la chose<br /> suivante: être agriculteur augmente les risques de contracter une leucémie. Ce chiffre à lui seul mériterait qu'on se penche un peu plus sérieusement sur la question non?<br /> <br /> -si l'on en croit votre article, le problème de la fin dans le monde est un problème de rendement: les faines, les disettes, la sous-alimentation existent encore car l'humanité ne produit pas<br /> assez.<br /> C'est faux.<br /> Le problème de la fin dans le monde est bien plus complexe. C'est à la fois un problème de zones de production, de subvention de l'agriculture (en subventionnant son agriculture, l'Europe coule<br /> indirectement tous les producteurs des pays sous-développés, j peux développer le mécanisme si vous le souhaitez), de géopolitique, et surtout de gâchis. Selon un rapport de la FAO, environ 1/3 de<br /> la nourriture destiné à l'être humain est jetée chaque année.<br /> Le meilleur moyen de nourrir l'ensemble de l'humanité, ce n'est pas d'augmenter les rendements, c'est d'arrêter de gâcher.
Répondre
L
<br /> <br /> "si l'on en croit votre article, le problème de la fin dans le monde est un problème de rendement: les faines, les disettes, la sous-alimentation existent encore car l'humanité ne produit pas<br /> assez.<br /> C'est faux."<br /> <br /> <br /> Ce qui est faux, c'est votre allégation. Je n'ai pas dit que "les famines, les disettes, la sous-alimentation existent encore car l'humanité ne produit pas assez". J'ai dit qu'avec des<br /> rendements deux fois plus faibles on aurait du mal à nourrir l'humanité.<br /> <br /> <br /> Les risques des phytosanitaires sur les utilisateurs sont bien documentés et font l'objet de recommandations pratiques pour les applicateurs. 50% des leucémiques seraient des agriculeurs ?<br /> Première nouvelle ! Vous avez une référence à nous communiquer ? Le risque de leucémie en relation avec l'application de pesticides est très controversée chez les scientifiques.<br /> <br /> <br /> La question des antibiotiques que vous soulevez à juste titre est plus complexe que vous ne le pensez, la réglementation s'efforçant de n'autoriser en médecine animale que des antibiotiques qui<br /> ne sont pas utilisés en médecine humaine. Je sais qu'il peut y avoir ce qu'on appelle des "résistances croisées". Cependant le monde médical s'accorde sur le fait que l 'immense majorité<br /> des antibiorésistances en médecine humaine trouvent leur origine dans une mauvaise utilisation des antibiotiques prescrits en médecine humaine.<br /> <br /> <br /> <br />
X
http://www.midilibre.fr/2012/10/12/dix-huit-intoxications-alimentaires-a-la-farine-de-sarrasin-bio-en-paca,577042.php<br /> <br /> A votre avis, ce problème se serait-il présenté avec une culture classique ?
Répondre
L
<br /> <br />  Cet accident sanitaire, avec lequel il ne faut pas plaisanter, aurait pu sans doute se présenter avec une culture conventionnelle. Cependant, le Datura, plante éminemment toxique, échappe<br /> plus facilement aux techniques de désherbage moins performantes, sauf à engager des coûts de main-d'oeuvre prohibitifs, de l'agriculture biologique.<br /> <br /> <br /> Merci de votre info.<br /> <br /> <br /> Signalons qu'en culture légumière, notamment de haricots, des agriculteurs bio irresponsables ont utilisé les vertus insecticides du Datura en en cultivant en bout de rang !<br /> <br /> <br /> Lien vers l'article que vous signalez.<br /> <br /> <br /> Un autre article sur BFM, qui n'apporte rien de plus,<br /> même plutôt moins, mais confirme l'info.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />

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